Ce site web utilise des cookies
Ce site web utilise des cookies. Pour plus d'informations sur la façon dont nous utilisons les cookies, vous pouvez lire notre Notification sur la confidentialité et les cookies
Ce site web utilise des cookies. Pour plus d'informations sur la façon dont nous utilisons les cookies, vous pouvez lire notre Notification sur la confidentialité et les cookies
Disponible
Retour gratuit dans les 7 jours suivant la date de livraison.Détails
PHARMA EXPRESS
94%Évaluation du vendeur
146 Abonnés
Vitesse d'expédition: Bon
Score Qualité: Excellent
Avis des consommateurs: Excellent
Le café non torréfié, ou café vert, présente une composition nutritionnelle spécifique qui lui vaut l’attention des chercheurs. S’il peut probablement contribuer de façon modeste à la perte de poids, sa consommation doit rester modérée en raison de sa richesse en caféine.
Il s’agit de café non torréfié. Lorsqu’ils sont extraits des fruits du caféier – des baies de couleur rouge qui ressemblent à des cerises -, les grains de café sont verts. Mais ils changent de couleur lors de la torréfaction, opération qui a pour but de développer leurs arômes. Après avoir été portés à forte température (jusqu’à 230°C°), ils ressortent marron foncé, tels que nous les connaissons. Il ne reste plus alors qu’à les moudre pour en faire du café filtre.
La torréfaction modifie la composition des grains de café. Elle réduit la teneur en caféine et surtout en polyphénols, acides chlorogénique, caféique et quinique. Comparé au café torréfié, le café vert renferme 2 à 4 fois plus (voire davantage) de ces composés aux vertus anti-oxydantes et anti-inflammatoires1,2. Les polyphénols, qui permettent aux végétaux de se défendre contre leurs divers agresseurs (insectes, rongeurs…) semblent avoir de nombreux effets bénéfiques pour la santé humaine. Ils font l’objet depuis peu d’un véritable engouement de la part des chercheurs. Avec ses polyphénols spécifiques, le café vert n’échappe pas à la règle…
Riche en caféine, le café vert est un stimulant. La caféine maintient l’éveil et aide à se concentrer. Revers de la médaille, en excès, elle retarde l’endormissement, nuit à la qualité du sommeil et peut induire de l’anxiété. Elle accélère le rythme cardiaque et augmente légèrement la tension artérielle3. Bien que chacun ait sa propre sensibilité, l’éliminant plus ou moins rapidement, sa consommation doit être limitée à 400 mg par jour (2 tasses moyennes de 150 ml de café vert) et même à 200 mg pour les femmes enceintes ou allaitantes et les personnes cardiaques. N’oublions pas qu’il y a aussi de la caféine dans le thé, le cacao, les sodas au cola et les boissons énergisantes… et que pour prévenir la fatigue, il faut commencer par dormir suffisamment !
L’augmentation du surpoids et de l’obésité dans le monde s’accompagne d’une flambée de la stéatose hépatique non alcoolique ou "foie gras". Les excès alimentaires de graisses saturées et de sucres conduisent à une accumulation de graisses (des triglycérides) dans le foie, qui peut se compliquer au fil des années d’une cirrhose. La stéatose hépatique fait aussi le lit de l’insulinorésistance (l’insuline devient moins efficace pour réguler la glycémie) qui peut aboutir au développement d’un diabète de type 2. Le café semble avoir un effet préventif de la stéatose et de l’inflammation hépatiques. Tous les mécanismes ne sont pas connus. Les études "in vitro" (sur des cellules en laboratoire) et sur la souris suggèrent que l’acide chlorogénique protège le foie des méfaits d’un régime déséquilibré4. D’autres composants du café - qu’il soit vert ou torréfié -, le cafestol et le kahwéol, semblent stimuler les enzymes de détoxification du foie, qui contribuent à le protéger4,5.
Depuis une bonne dizaine d’années, diverses études épidémiologiques suggèrent l’intérêt du café dans la prévention du diabète de type 2. Mais cet effet n’est parfois observé que sur de fortes consommations de 6 à 7 tasses par jour… qui ne sont pas recommandables ! L’action favorable du café semble liée à ses polyphénols, en particulier à l’acide chlorogénique : via une action sur les hormones sécrétées par le tube digestif, il réduirait l’assimilation du glucose (sucre)2. En l’état actuel des connaissances, la meilleure prévention du diabète consiste à allier activité physique régulière et repas équilibrés.
On sait depuis longtemps que la caféine favorise la combustion des graisses de réserve… à condition de pratiquer un exercice peu après son ingestion (elle a été longtemps inscrite sur la liste des produits dopants interdits aux sportifs de haut niveau !). Elle booste aussi légèrement le métabolisme, c’est-à-dire qu’elle fait consommer un peu plus de calories à l’organisme. On a découvert plus récemment que l’acide chlorogénique a à peu près les mêmes effets, si bien que des industriels ont mis au point le Svetol ®, un extrait de décaféiné vert prêt à être incorporé dans des compléments alimentaires destinés à favoriser l’amincissement.
Divers essais ont été menés avec du café vert (décaféiné ou non) sur des personnes en surpoids ou obèses, cherchant à obtenir une perte de poids et/ou une diminution de la masse graisseuse6. Peut-on leur faire confiance ? Une récente méta-analyse, qui a compilé les études existantes, permet de trancher : les essais manquent souvent de rigueur et sont effectués sur un trop petit nombre de volontaires7. Une étude favorable au café vert publiée en 2012 dans la revue : "Diabetes, Met Synd Obes" a d’ailleurs été retirée de la version en ligne le 16 octobre 20148 ! Les auteurs de la méta-analyse concluent néanmoins que le café vert a probablement un effet modeste sur la perte de poids.
Le café non torréfié, ou café vert, présente une composition nutritionnelle spécifique qui lui vaut l’attention des chercheurs. S’il peut probablement contribuer de façon modeste à la perte de poids, sa consommation doit rester modérée en raison de sa richesse en caféine.
Il s’agit de café non torréfié. Lorsqu’ils sont extraits des fruits du caféier – des baies de couleur rouge qui ressemblent à des cerises -, les grains de café sont verts. Mais ils changent de couleur lors de la torréfaction, opération qui a pour but de développer leurs arômes. Après avoir été portés à forte température (jusqu’à 230°C°), ils ressortent marron foncé, tels que nous les connaissons. Il ne reste plus alors qu’à les moudre pour en faire du café filtre.
La torréfaction modifie la composition des grains de café. Elle réduit la teneur en caféine et surtout en polyphénols, acides chlorogénique, caféique et quinique. Comparé au café torréfié, le café vert renferme 2 à 4 fois plus (voire davantage) de ces composés aux vertus anti-oxydantes et anti-inflammatoires1,2. Les polyphénols, qui permettent aux végétaux de se défendre contre leurs divers agresseurs (insectes, rongeurs…) semblent avoir de nombreux effets bénéfiques pour la santé humaine. Ils font l’objet depuis peu d’un véritable engouement de la part des chercheurs. Avec ses polyphénols spécifiques, le café vert n’échappe pas à la règle…
Riche en caféine, le café vert est un stimulant. La caféine maintient l’éveil et aide à se concentrer. Revers de la médaille, en excès, elle retarde l’endormissement, nuit à la qualité du sommeil et peut induire de l’anxiété. Elle accélère le rythme cardiaque et augmente légèrement la tension artérielle3. Bien que chacun ait sa propre sensibilité, l’éliminant plus ou moins rapidement, sa consommation doit être limitée à 400 mg par jour (2 tasses moyennes de 150 ml de café vert) et même à 200 mg pour les femmes enceintes ou allaitantes et les personnes cardiaques. N’oublions pas qu’il y a aussi de la caféine dans le thé, le cacao, les sodas au cola et les boissons énergisantes… et que pour prévenir la fatigue, il faut commencer par dormir suffisamment !
L’augmentation du surpoids et de l’obésité dans le monde s’accompagne d’une flambée de la stéatose hépatique non alcoolique ou "foie gras". Les excès alimentaires de graisses saturées et de sucres conduisent à une accumulation de graisses (des triglycérides) dans le foie, qui peut se compliquer au fil des années d’une cirrhose. La stéatose hépatique fait aussi le lit de l’insulinorésistance (l’insuline devient moins efficace pour réguler la glycémie) qui peut aboutir au développement d’un diabète de type 2. Le café semble avoir un effet préventif de la stéatose et de l’inflammation hépatiques. Tous les mécanismes ne sont pas connus. Les études "in vitro" (sur des cellules en laboratoire) et sur la souris suggèrent que l’acide chlorogénique protège le foie des méfaits d’un régime déséquilibré4. D’autres composants du café - qu’il soit vert ou torréfié -, le cafestol et le kahwéol, semblent stimuler les enzymes de détoxification du foie, qui contribuent à le protéger4,5.
Depuis une bonne dizaine d’années, diverses études épidémiologiques suggèrent l’intérêt du café dans la prévention du diabète de type 2. Mais cet effet n’est parfois observé que sur de fortes consommations de 6 à 7 tasses par jour… qui ne sont pas recommandables ! L’action favorable du café semble liée à ses polyphénols, en particulier à l’acide chlorogénique : via une action sur les hormones sécrétées par le tube digestif, il réduirait l’assimilation du glucose (sucre)2. En l’état actuel des connaissances, la meilleure prévention du diabète consiste à allier activité physique régulière et repas équilibrés.
On sait depuis longtemps que la caféine favorise la combustion des graisses de réserve… à condition de pratiquer un exercice peu après son ingestion (elle a été longtemps inscrite sur la liste des produits dopants interdits aux sportifs de haut niveau !). Elle booste aussi légèrement le métabolisme, c’est-à-dire qu’elle fait consommer un peu plus de calories à l’organisme. On a découvert plus récemment que l’acide chlorogénique a à peu près les mêmes effets, si bien que des industriels ont mis au point le Svetol ®, un extrait de décaféiné vert prêt à être incorporé dans des compléments alimentaires destinés à favoriser l’amincissement.
Divers essais ont été menés avec du café vert (décaféiné ou non) sur des personnes en surpoids ou obèses, cherchant à obtenir une perte de poids et/ou une diminution de la masse graisseuse6. Peut-on leur faire confiance ? Une récente méta-analyse, qui a compilé les études existantes, permet de trancher : les essais manquent souvent de rigueur et sont effectués sur un trop petit nombre de volontaires7. Une étude favorable au café vert publiée en 2012 dans la revue : "Diabetes, Met Synd Obes" a d’ailleurs été retirée de la version en ligne le 16 octobre 20148 ! Les auteurs de la méta-analyse concluent néanmoins que le café vert a probablement un effet modeste sur la perte de poids.
Les clients ayant acheté ce produit n'ont pas encore émis d'avis.
Faites vos achats en toute confiance
Abonnez-vous à notre newsletter maintenant et recevez tous les jours nos meilleures offres !